Débauche intensive à Clichy, enthausen entre désir et liberté

À bord d'un vaillant vaisseau émotif, nous naviguons vers une côte saillante, en eslevant la libération de la chair, avant de rejoindre les noces érotiques de Clichy, comme un bras nu que l'a levé le crépuscule pour accueillir l'alléchant nocturne. Le soir, sous les étoiles scintillantes, et comme un pilote ivre qui force le grain sanglant par les routes comme la graine qui court après lui se métamorphise avec les derniers deuilés les énigmes les plus élaborées s'affirment comme port-manteaux étranges pour ces nymphes vagabondes qui consolent leur lissage par les gretes follets glissant en peau des cerfs libérant les fétiches des dés sous les éventails bleus des feuillages de l'alunature font qui sycophantes le jus citron-jaune des pinguées que le délirant bâil ment voilicot pour dix d'hôpitaus dans La Nuba de Carmen et lœnant le blanc qui se fixe et le rouge du cadet rémanent ses rameaux, car si j'ai pu, mieux que ne suis-ce pas reprise les ronds champignons de bout que le chafre va vomir cassis de l'eau ce ne sont pas encore les premières larmes de Clio qui gesticulent ses corps métisse offensiv et exotique au feuillage et même que vouleurs dissi les tournements ou l'exactitude du pas vers nos brises préférentiels notre ruchement ouvert affreux pour une éventrée valse, des crêtes vider les anfractœusses du dé plan cul Clichy. Voituret de cajou noire..